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De quoi la rupture est-elle synonyme pour nous ?

De quoi la rupture est-elle synonyme pour nous ?


Salut !
Il n’y a pas de journalistes ici et personne n’a envie de le devenir. L’intention de cette page est juste de partager des infos pour nous aider à comprendre et intervenir dans la réalité.

Depuis que les bourgeois ont pris le pouvoir aux aristos nous n’en avons toujours aucun sur nos vies. Par contre la nouvelle religion de l’accumulation exponentielle du capital nous a encore plus dépossédée de tout. Exploité.es comme jamais, et ce dans chaque recoin de la Planète, plus rien n’échappe à l’ogre du profit mangeur de vie.

« Esclaves debout, nous ne sommes rien soyons tout‌‌ ! » *

Il est largement temps de faire table rase comme l’appelle de tout cœur la célèbre chanson lilloise reprise aux quatre coins du monde. D’autant que le caractère illimité de l’accumulation du capital se déploie sur une planète par définition limitée. Et cela pose désormais non plus seulement la question de se « libérer » mais aussi de la survie de l’humanité et du vivant.

Il y a donc une urgence absolue à créer la rupture avec cet ordre des choses. Rupture, car c’est l’essence même du système qui est à renverser. Rien ne laisse présager un délitement du pouvoir, au contraire chaque année les États renforcent leurs capacités coercitives, nouvelles technologies à l’appui. Révolution ou barbarie fascisante au service des possédants sont nos horizons. Nous n’avons plus aucun doute sur le fait que toute tentative de réforme ne serve qu’à faire perdurer les fondements de la dynamique capitaliste qui nous amène immanquablement vers la catastrophe.

Au cœur du brouhaha spectaculaire et du flux continu de « news » cette page se faisant relais d’infos propose une sélection d’articles et d’analyses qui nous paraissent pertinents pour nourrir le débat critique afin de mieux saisir l’offensive de la domination marchande et de relayer toutes les luttes qui peuvent contenir en elles leur propre possibilité de dépassement et qui pourraient nous mener au point de rupture avec l’Ordre social.

Cette page comme aucune autre cyber–agitation ne pourra remplacer l’organisation collective pour agir concrètement contre ce monde qui fait de l’humain une marchandise tout en lui vendant l’illusion de la « liberté ».

On aimerait situer cette page entre la boîte−à−idée et la boîte−à−outils !

Salutations chaleureuses !

*Paroles de l’Internationale composée entre Paris (pour les paroles à la répression de la Commune de Paris – 1871) et Lille (pour la musique en 1888)